CV1 : prépa HEC, Ecole de Commerce

C’est pas tout ça, mais dans la mesure où j’ai déclaré sur un coup de tête que je cherchais du boulot, il faudrait quand même commencer à faire semblant.
Surtout qu’il paraîtrait qu’on rentre en France dans les trois prochains mois et que ce serait sans doute pas du luxe que je gagne de quoi mettre du beurre sur la tartine.
Je fais encore confiance à mon mari pour nous acheter la tartine…

Recette de beurre salé (c) Michael Carpentier CC ShareAlike

Cliquer sur la photo pour la recette du beurre salé à la ciboulette. Miom.

Je crois pas au Père Noël

Et mes enfants non plus…
Et c’est parti pour mon premier article VRAIMENT POLÉMIQUE.
A côté du Père Noël, les débats sur la chasse, la corrida ou l’occupation du Tibet, c’est de la roupie de pioupiou.

Papa Noël

A toutes fins utiles, et afin d’éviter les menaces de mort en direct via les commentaires (songeons aux âmes sensibles et à mes enfants !), j’inaugure avec ce post ma toute nouvelle adresse internet.
Elle est là, à droite (page contact) –>

Savoir vivre & manger

Hier je suis allée faire les dernières courses de Noël.
Et j’en ai profité pour m’accorder un de mes nombreux péchés mignons : un cornet de glace chez Volta.

Vitrines Volta

Antre du péché glacé.

Ne craignez rien, je ne compte pas profiter de l’occasion pour vous donner une leçon de savoir-vivre à la « Nadine de Rothschild ».
Et j’aimerais d’ailleurs noter au passage que je trouve plutôt mignon que quelqu’un qui a commencé sa carrière d’actrice en ébauchant un strip-tease (voir le film « En effeuillant la marguerite » où Nadine ne s’appelait pas encore de R. mais seulement Tallier) s’est fait connaître par la suite en expliquant comment se comporter en public.
La vie est décidément pleine de surprises…

Touche pas aux Malouines !

« Les îles Malouines (Falkland Islands en anglais, Islas Malvinas en espagnol) sont un archipel de l’Atlantique Sud situé à 480 km des côtes de l’Argentine et à 940 km du nord de l’Antarctique. Elles forment un Territoire britannique d’outre-mer (Overseas Territory of the Falkland Islands). Elles sont revendiquées par l’Argentine et ont été l’enjeu d’un affrontement militaire — la guerre des Malouines — entre les deux pays en 1982. »

Source Wikipedia.

Islas Malvinas (c) Douglas Fernandes cc-by http://www.flickr.com/photos/thejourney1972/2384698142/

Coucou les Malouines !

Journal d’une trouillarde

Allez zou, un petit dernier sur l’avion avant de tourner la page et de vous montrer quelques photos bien méritées d’Iguazu…

petit navion

Pas rancunière, j’ai acheté un petit navion pour mon fils de 9 mois.

A chaque fois que je me retrouve sur la passerelle d’un avion, je me pose la même question : « Pourquoi je me fais ça  ? ».
Et la réponse est simple : parce que la vie est courte et mérite d’être vécue à fond quand on le peut.

« Je veux un amour qui vole »

Titre choisi en hommage à la chanson de Véronique Jannot (paroles et musique des incontournables Voulzy et Souchon), au son de laquelle j’ai écrit ce post.
Les amateurs – et je sais qu’ils sont nombreux ! – peuvent se faire une petite cure nostalgie ici :

http://www.youtube.com/watch?v=embdCXhTbM8

Ou mieux, l’écouter en lisant la suite !
Ambiance musicale et tout et tout : qui dira que je ne soigne pas mes quelques lecteurs aux petits oignons ?
(à noter au passage, que perso, c’est pas l’aviateur moustachu que j’aurais choisi)

Lire la suite

Iguazu ou la relativité

Je n’aime pas l’avion. Ça m’est venu d’un coup, avec l’âge adulte.
Avant, ma nature profondément feignante s’accommodait avec plaisir du fait de rester assise un nombre incalculable d’heures et de se faire servir (en plus, quand tu es petit, tu reçois plein de cadeaux !).
L’avion me berçait en bondissant de nuage en nuage et ça me donnait l’envie de piquer un petit roupillon entre le film et le plateau repas.
Le bonheur.

Visualisez la vidéo

Ha si j’étais un oiseau ! (réalisé sans trucage au parc des oiseaux, Iguaçu, Brésil)

Et les femmes d’expat, elles sont en vacances ?

En fait, le truc qui frappe à première vue, et sans doute à la seconde, c’est que les conditions des expatriés sont notablement privilégiées.
Nos maris le valent bien, qui s’échinent la colonne vertébrale au turbin. Ils le valent bien et pas seulement quand ils bossent chez l’Oréal. J’en connais.
Mais je conçois très bien que ça puisse agacer, surtout quand, de notre côté, nous n’avons pas l’air de bouger le petit doigt. Que nous avons parfois manucuré.
Alors qu’en est-il vraiment, au delà des apparences ?

Ambassade dans la rue Ortiz de Ocampo

Non, ce n’est pas ma maison, c’est juste une ambassade dans ma rue.