Reiki

J’ai été formée au Reiki en Argentine et j’ai envie de vous en parler un petit peu.

Avant de commencer, une précaution d’usage s’impose : il faut savoir (dixit mon maître en Reiki) que 99% de ce que l’on peut trouver à lire sur le sujet sont au choix des idioties ou des escroqueries.

Je laisse donc à votre sagacité le soin de décider si cette modeste parution appartient aux 99% des inepties ou au petit 1% des écrits intéressants…

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Bébé gaucho bientôt en gigoteuse

Cela va sans doute paraître incroyable aux amies françaises restées au pays mais il faut savoir qu’en Argentine, on n’a jamais entendu parler de la gigoteuse. Et pas plus de la turbulette.
Les bébés ici sont couchés classiquement dans un drap et une couverture.
Et je ne compte pas le nombre de fois où une maman d’ici m’a regardée en écarquillant les yeux quand je lui décrivais le « sac à bébé ».
J’imagine que la literie avec bretelle a de quoi surprendre quand on la découvre pour la première fois…

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Préparation physique

« Je vais gagner beaucoup d’argent. Je vais gagner beaucoup d’argent. Je vais gagner beaucoup d’argent.»

Parce que c’est pas tout, de déclarer travailler avant un an, il faudrait aussi un peu se préparer psychologiquement au truc.

Faire mon CV (voir Part 1), c’est fatigant, j’y viens petit à petit.
Et j’ai déjà commencé à faire une liste de jobs. Assez courte, la liste. Vous en connaissez beaucoup, vous, des boulots qui vous permettent de rester à la maison, de faire pas trop d’heures et de gagner votre vie ?
En tête des possibilités sexys : geisha et tireuse de cartes.

El sol Ayacata7(c) http://www.flickr.com/photos/odisea2008/5269007459/

Le Soleil, arcane Majeur

Je croque plus l’Apple

(M’en fiche j’ai déjà un ipod.)

Et je prévois que cette décision va moins me coûter que celle d’arrêter la viande.
Surtout que j’ai un mec informaticien à la maison, du genre « je parle à l’oreille des ordis », du genre « je reprogramme le fer à repasser et il te fait des gaufres » et que ça étend quelque peu la garantie du matos informatique.

Ça l’étend d’autant plus que ledit garçon a pris l’habitude, les jours d’encombrants en France, quand tout le monde se débarrasse de ses vieilleries, de décrocher tout ce qu’il peut de ce qu’il trouvait dans la rue : un petit câble par ci, une petite prise usb par là… C’est limite s’il ne fait pas les poubelles.
Une balade dans la rue avec lui, il faut le savoir, c’est pas toujours clair de lune et romance.
Il faut le savoir.

Vous me direz : ce n’est pas parce que j’ai ce qu’il faut à la maison, et que ça marche sous Linux, que je suis obligée d’en venir à des menaces aussi extrêmes (je sens que le Dow Jones en frémit déjà…).

Pomme (c) Janine Pohl cc-by-sa http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Apfel_05.jpg

Mes Pommes, je les préfère vertes.

Dans mes sabots dondaine

Je vais vous révéler la tendance lourde "Été 2010-2011" (ici en ce moment, c’est l’été : amis français, souffrez !) pour la chaussure argentine…
Heureux veinards.

La tendance lourde "Été 2010-2011" de la chaussure argentine, c’est la chaussure à talon compensé. De préférence très haute. De préférence sur talon de bois.
Et dans cette catégorie, j’aime tout particulièrement le sabot.

Sabots

Pour tous les amateurs de mon style photographique "flouté" ou mal cadré, je recommande tout spécialement mon billet sur le Dakar.

Un légume en hommage

Depuis que je suis arrivée dans ce beau pays (l’Argentine), j’ai toujours été régulièrement hallucinée par la taille, la forme, voire l’allure générale, des fruits et légumes du Carrefour de mon quartier (Buenos-Aires, Palermo Chico).

Je ne sais pas si c’est l’engrais, la proximité d’une centrale nucléaire ou l’usage de gênes modifiés mais il faut parfois le voir pour le croire (je vous recommande tout particulièrement les carottes).

Angoisses sur la pampa. Mon arrivée à Buenos Aires Part 2.

(Suite de la Part 1)

Le deuxième jour, certaines choses s’arrangent : notamment le nouvel appart- hôtel qui a maintenant une vue dégagée sur la Rural (à force de les entendre, je savais par cœur les airs du fameux Opera Pampa) et le Zoologico, deux chambres et une cuisine dont la taille dépasse – cette fois – celle de la boîte à chaussures.

Calabaza de mate

Typique pour boire le maté ici. Vous pourrez remarquer que c’est le même décor de fond que pour le bock de café StarBuck : ceci est un blog à petit budget.

Mais elles deviennent nettement plus folkloriques pour le reste : des paysans en colère ont mis le feu à la pampa et la ville nage dans une épaisse fumée âcre qui ne permet pas toujours de voir à plus de deux mètres mais témoigne à coup sûr du goût un peu trop prononcé des Argentins pour le barbecue.
En tout cas, on a mis un peu de temps avant de profiter de la vue dégagée depuis la chambre…

Angoisses sur la pampa. Mon arrivée à Buenos Aires Part 1.

(Article initialement paru dans Buena Onda, le magazine de Buenos-Aires Accueil.)

Mon arrivée à Buenos Aires, Argentine, le 11 avril 2008 (bientôt l’anniversaire des trois ans) m’a parue assez folklorique.

Drapeau Argentine

Descendus de l’avion le matin, après une nuit blanche, en ce qui me concerne, à m’occuper de mon bébé de 18 mois, nous sommes accueillis par la responsable RH de la boîte de mon mari.

Et avec elle, c’est tout de suite parti pour le marathon : de toute façon, comme me elle me l’explique, il ne faut surtout pas dormir jusqu’au soir pour vite se mettre dans le bon rythme.
Vamoooooooooooos, donc !!!

Vol au dessus d’un nid de facteurs. Correo Argentino Part. 3

(La suite de mes aventures en Poste Argentine : voir Part 1 et 2)

La salle d’attente du Correo Argentino ressemble à une salle de cinéma. En moins marrant.
L’attente dans cette petite salle de cinéma peut-être longue : j’ai eu des débuts de sueur froide, quand j’ai remarqué qu’un petit malin avait installé une buvette ambulante à la sortie… comptez une bonne heure en moyenne.
Les habitués apportent un magazine : n’hésitez pas à les imiter !

Mollydot (cc) http://www.flickr.com/photos/mollydot/3396687396/

On pourrait aussi aller au Correo avec un tricot !