En cette semaine de rentrée, j’ai eu envie de vous parler "enfants" et du plaisir probable de les (r)envoyer enfin à l’école.
Parce qu’avant de décider de tomber enceinte et avant donc cette fatale poussée d’hormones mal contrôlée à la vue du nourrisson de ma cousine qui aura rendu tout raisonnement immédiatement caduc – la nature est bien faite -, je me suis pris la tête pendant plusieurs années sur les « pour » et les « contres » en matière de maternité.
Et comme les contres étaient plus nombreux que les pour, forcément, j’hésitais un peu.
Mon mari, lui, voulait des enfants depuis longtemps, pour une raison inconnue, que je ne lui ferai pas l’affront de limiter à l’intérêt de la poussée mammaire pendant la grossesse.
Mais si je me souviens bien, ma liste à moi devait donc ressembler un peu à celle ci :
– un enfant coûte une fortune et c’est sans parler de son éducation s’il veut faire médecine et n’a pas l’imagination de son grand-père qui a trafiqué les cigarettes (entre autres) pour financer les siennes
– un enfant te cassera la voiture quand il sera grand…