Il aurait fallu être partie depuis un certain temps pour un voyage inter-galactique ou ne jamais aller chez le coiffeur pour ne pas savoir que Kate a récemment épousé William.
Je ne vous ferai donc pas l’affront de préciser les noms de famille.
En ce qui me concerne, j’ai passé devant l’écran, vendredi dernier, le même nombre d’heures qu’il y a à peu près trente ans devant Diana et Charles.
Je ne précise toujours pas les patronymes…
C’est à dire qu’à part quelques brèves pauses pour aller me chercher des madeleines au distributeur de l’appart hôtel pour mon petit dej (je suis de retour de l’étranger et la case appart hôtel est un classique du genre), me faire chauffer un bol de soupe (j’ai quand même pris le temps de mettre ma soupe dans un bol, tout n’est pas perdu !), retourner au distributeur me chercher un coca (je gagne, je joue) et évacuer le trop plein de liquides d’une façon que la décence et les bonnes mœurs m’interdisent de préciser (shocking !), je n’ai pas décollé mon attention de l’écran, de peur de perdre une bribe des inévaluables informations du tandem Bern (Stéphane) et Drucker (Marie, nièce de Michel)…