Si j’avais la chance de recevoir dix euros (soyons généreux !) à chaque fois que quelqu’un me dit "ça doit vous changer de passer de Buenos-Aires à Poissy", voire dans la version apitoyée "ça doit être dur de passer de Buenos-Aires à Poissy", j’aurais certainement de quoi me payer un retour en Argentine, classe business.
Dommage que question plateau repas, ce ne soit plus tout à fait ça en business. Les temps sont durs.
Et dommage que l’originalité aille visiblement de pair avec la charité. A vot’ bon cœur m’sieurs dames.
Et quoi, que reproche t-on donc à cette charmante bourgade des Yvelines d’environ 38 000 habitants ?