Dieu n’est pas le seul intervenant sur Terre, même s’il est le plus puissant.
Le diable existe aussi.
Et c’est en cela que je trouve les petits message encourageants à la sauce Instagram profondément simplistes : oui, la pensée positive aide. Et oui, l’univers réagit à nos énergies.
Mais il y a aussi les autres humains, dont une bonne partie va tout faire pour tout détruire. Il y a le mal et il y a ses agents.
Notre planète est une planète école où le Bien et le mal s’affrontent constamment.
C’est aussi pour cela qu’il y a les guerres en dépit du fait que Dieu existe.
Déjà, parce que Dieu, dans son infinie bonté, nous laisse notre libre arbitre. Ce que le simple fait de se montrer nous ôterait. Alors que le diable, lui, fait de la manipulation via l’égo son fond de commerce.
Les guerres existent aussi que des humains malveillants en profitent pour tout casser. Ou parce qu’ils sont avides, sans scrupules et cruels.
Je n’y croyais pas vraiment quand j’étais une jeune fille, au diable.
Et je voulais m’illusionner sur la nature profondément généreuse de l’être humain, dont le seul tort pouvait être de s’égarer momentanément.
Une bonne douche de conscience et pouf, la brebis galeuse redevenait saine.
Mais j’ai fini par regarder vraiment dans le fond des yeux d’une personne qui m’est proche, habitée par le mal absolu.
Et c’est insondable. Un trou noir sans limite.
Surtout, j’ai été initiée au Reiki et j’ai senti les énergies. Dans les corps, dans les bâtiments, ou dans l’air autour de moi.
Et si l’énergie positive existe, l’énergie négative aussi.
Il y a la magie noire et la magie blanche.
J’ai été la cible d’attaques en magie noire, je sais les identifier.
Et surtout, j’ai dû apprendre à m’en défendre.
Des esprits éblouis par les progrès de la science voudraient croire que tout cela n’est que superstition de bonne femme.
Mais une personne de ma famille, de gauche et athée, habitant dans les Caraïbes, ne plaisantait pas avec le vaudou.
La magie, selon la formule, n’est que de la science qui n’a pas encore été découverte. Et elle galope sur ce terrain, la science, n’en déplaise aux sceptiques : des études prouvent maintenant que les arbres communiquent. Ce que les spirituels savent depuis longtemps. Mais il y a encore cinq ans, exprimer cela vous faisait passer pour un hippie perdu pour la logique.
Les sociopathes et psychopathes, incapables de produire leur propre énergie et dépendant de celle des autres, ont dû très vite apprendre comment cela fonctionnait.
Certains d’entre eux, en général les plus maléfiques, qui ont de surcroît compris comment fonctionne l’énergie du monde et veulent en abuser sans se limiter avec des valeurs morales, se tournent alors du côté du mal, magie noire, pratiques occultes et satanisme de rigueur.
Plus on grimpe dans les échelons de la société, plus le mélange entre une extrême sociopathie, une avidité de pouvoir et la faculté de presque tout faire sans conséquences plonge potentiellement nos « élites » mondiales dans un chaudron de sorcière fort peu ragoûtant.
Bien sûr les sceptiques et les personnes de milieux sociaux moins élevés sont encouragés à croire que tout cela n’est, encore une fois, que fariboles et contes de fées.
Quand, en réalité, le lien entre l’occulte et le pouvoir existe depuis que ce pauvre monde est monde.
Il y a eu les sacrifices Incas, et les sacrifices d’enfants à Carthage et ces pratiques sont tellement ancrées dans l’esprit des archéologues que c’est, semble-t-il, à chaque nouvelle découverte qui implique des ossements, leur première hypothèse.
Il y a eu les messes noires, avec le célèbre procès de La Voisin qui impliquait alors La Pompadour, maîtresse du roi.
Le diable n’aime rien tant que la souffrance des innocents et il faut savoir fournir, pour un pacte avec lui.
Et ce serait folie que de vouloir s’imaginer que tout cela est limité à un passé bien enterré. et que notre civilisation a suffisamment évolué pour que l’on puisse enfin reléguer ces pratiques barbares au placard de l’Histoire.
Le cœur humain n’a pas changé.
Pour l’exemple, un bon nombre de loges maçonnique patauge allégrement dans l’occulte : j’ai rencontré un haut responsable qui était fasciné par les crânes de cristal et leurs pouvoirs.
Et une autre qui m’a raconté qu’elle avait fini par se désolidariser du milieu parce qu’elle trouvait que ça allait trop loin.
Le pouvoir et l’occulte…
Et s’il est bien un pays qui est forcément soumis à cette tentation, c’est celui qui n’a pas hésité à mettre des symboles maçonniques sur ses billets de banque. Ou à confondre la recherche du bonheur avec celle d’un maximum de pognon.
D’un pays où chaque église évangéliste ressemble à une mini secte engagée à se vautrer dans le plus possible d’argent.
Un pays où énormément de stars portent des symboles sensés les protéger du mauvais œil.
En bref, des États-Unis.
Il y a à peu près sept ans, j’ai senti les énergies mondiales s’assombrir drastiquement.
Et j’ai identifié la source principale de ce déséquilibre aux États-Unis. Du coup, quand des enfants ont commencé à disparaître à la frontière, j’ai dit à mon mari quelque chose d’approchant : « oh merde, ils pratiquent le satanisme et les messes noires avec sacrifices. »
Mon cher et tendre, en personne profondément équilibrée et quasi incapable d’imaginer le mal absolu, sauf à être mis en présence de documentaires historiques sur la Shoah, ne m’a, bien sûr, pas crue.
Je lui a répondu que j’espérais avoir tort. Mais qu’on le saurait dans les prochaines années.
Et oui, je réalise que cette conviction aurait pu me mettre dans les rangs des adeptes de QAnon, même si je ne connais pas tous les détails du groupe et que j’ai pas l’intention de me renseigner.
Mais les psychopathes jouent aux échecs en trois dimensions et le but de la partie, quel que soit l’enjeu, c’est de vous faire passer pour fou et de vous décrédibiliser pour le jour où vous voudrez les dénoncer.
Avec cet objectif en vue, je soupçonnerais bien quelques uns de ces adeptes putatifs du satanisme d’avoir créé ce groupe controversé, avec juste ce qu’il faut de délire – le diable est dans les détails – et la dissémination stratégique de quelques faits faciles à vérifier, qui viendraient décrédibiliser l’ensemble : Donald Trump présenté comme champion contre le mal ou l’adresse d’une pizzeria où il n’y même pas de sous-sol.
Le fait d’en faire une lutte de parti va déjà braquer la moitié de la population. Mais pour plus de sûreté, on y saupoudre le détail révoltant et maniaque sur le fait de boire le sang. Quoiqu’avec Pieter Thiel qui s’injecte du sang jeune, on n’en n’est déjà plus très loin…
Après qu’une personne ait débarqué dans la pizzeria en question l’arme au poing, les personnes saines d’esprit, à commencer par celles qui sont légitimement opposées à Trump, vont être rassurées que la seule preuve vérifiable n’aboutisse nulle part.
Un plan de ce genre n’aurait pas pu être concocté par Trump, au passage, le gus ne peut même pas gagner au morpion.
Mais depuis, les mises au jour de trafics d’enfants, aux USA, semblent se multiplier comme autant de petits pains empoisonnés, au point où cela ressemble à un passe-temps national.
Et on n’a pas encore d’explication officielle sur la présence d’un temple dans l’île d’Epstein…
Or, je viens de tomber sur cette vidéo qui explique que le père de Nicole Kidman, un psychiatre spécialisé dans l’enfance, aurait été chargé de contrôler psychologiquement des enfants dans le but de les jeter en pâture à des rituels sataniques…
Le genre de moment où ça me fait suprêmement chier d’avoir eu raison.
Le mal n’a pas de limite et les milliardaires ont l’impression que cette planète est là pour leur amusement dégénéré.
Forcément de plus en plus dégénéré, si un sociopathe veut ne pas s’ennuyer.
Le Karma finira par rattraper tout ce petit monde.
Et c’est peut-être aussi en pensant à la désagréabilité d’un séjour post-mortem que bon nombre de ces milliardaires court après l’immortalité.
Ces enfoirés n’aiment surtout pas subir les conséquences de leurs actes…
Mais quoi qu’ils fassent, ils ne pourront pas échapper au Karma.
Si ça n’est pas déjà le cas, s’il est aussi lent, c’est que la protection du diable est réelle, hélas.
Mais elle est limitée dans le temps : le mal ne s’intéresse plus à ceux qui ont cessé de lui être utiles.
Et l’énergie négative est comme un feu qui détruit pour se nourrir mais qui s’use et pourrit son récipiendaire de l’intérieur.
Quand l’énergie d’amour divin est solaire, illimitée et auto-régénérante.
La civilisation Inca a presque été totalement rasée. Et non, je ne justifie pas les conquistadors pour autant.
Carthage a fini détruit.
Non seulement ces immondes salopards vont payer, mais c’est une dette qui se transmet aux descendants. Ce n’est pas un hasard, par exemple, que Joe Kennedy, après avoir fait réaliser une lobotomie sur une des ses filles – selon la rumeur, la victime de ses attentions dégénérées – a fini par avoir une attaque cérébrale, a eu deux fils qui ont reçu des balles dans la tête et un petit fils dont le cerveau a été grignoté par un ver.
Le karma ne se limite même pas à la famille : quand il concerne des fautes trop graves, de la part de trop de sinistres individus, il s’étend au pays.
Tick Tock, mother fuckers…