¡que suerte tenerte! *

* quelle chance de t’avoir !

C’est une chanson qui me colle un sourire dès qu’elle passe à la radio, ici, en Espagne.
Et du coup, j’ai eu envie de la partager avec vous : clic, clic, cliquez par là…

Et je vous mets en dessous (au cas où !), la traduction des paroles, hyper positives :
(spéciale dédicace à « l’hombre » qui partage ma vie !)

« Quand je me sens bien,
Rien ne colle à la poêle,
Et la tortilla en sort toute ronde et parfaite.
Le froid est une excuse pour te câliner encore plus
Et si la maison n’est pas propre, allons à l’hôtel !

des œufs de Pâques piñata

  L’année dernière, en cherchant des idées pour Pâques, j’étais tombée sur ce sublimissime site « Oh Happy Day » et sur cette création des œufs piñata. Ingrédients pour les œufs piñata 2014 : (En général, je trouve tout de dont j’ai besoin chez CreaVea.) des œufs du colorant alimentaire des pastilles de couleur des confettis de

sardine d’avril

Le premier avril, en France, on fait des blagues et des poissons. En Espagne, cela s’appelle « Dia de los Santos Inocentes » et tombe un 28 décembre… tant que je vis près de Madrid, je vais devoir redoubler de vigilance deux jours par an ! Ma fille s’est particulièrement régalée aujourd’hui à me faire croire qu’il y

Grenade et l’Alhambra

S’il y une ville que j’aime particulièrement en Espagne, c’est Grenade. Quand j’y étais venue, adolescente, avec mes parents, je suis tombée irrémédiablement amoureuse de l’Alhambra. Magnifique palais des sultans Nasrides qui a marqué mon imaginaire romantique. J’avais dans la tête des guerriers maures d’antan, sur leurs pur-sangs, extraordinaires de force et d’arrogance. Et dans

des scones super bons !

En tout cas c’est ce que pensent mes enfants ! J’en tiens la recette originale du livre de Danièle Mazet-Delpeuch, « Carnet de Cuisine », mais je l’ai fait évoluer au fil du temps. Ce livre est extrêmement intéressant puisqu’il s’agit en fait de la biographie de celle qui fut chef à l’Elysée et dont la vie a

je nous souhaite de décoller

Il y a ce verbe en anglais, qui, à mon avis, n’a pas d’équivalent dans notre langue…

« To soar ».

Et ce mot comprend, dans ses quatre lettres toutes simples, à la fois le bonheur de voler, la sensation de planer très loin au dessus des soucis, grands et petits, et l’exaltation de se sentir vivant.

To soar ! Décoller au plus haut en sentant frémir la force de ses ailes.

Moment de grâce qui m’arrive à moi quand j’écoute une musique particulièrement prenante ou quand j’ai le sentiment d’avoir enfin réalisé quelque chose qui en vaut la peine.

Et c’est souvent quand on a traversé un épais brouillard de peur et de doute que cette aube claire et dorée se fait la plus intense.

C’est, j’imagine, ce que doit ressentir l’alpiniste au terme de son ascension.