De tout temps, la race humaine, entraînée par son égo et surtout, par son absence d’empathie, a commis les pires atrocités. Mais il y avait aussi en parallèle, des penseurs, des philosophes ou des prophètes qui sont venus pour nous guider vers de meilleurs sentiments. Parce qu’en réalité, une société sans aucune valeur qui permette
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Le Karma est une dette qui se transmet aux descendants. Ce n’est pas un hasard, par exemple, que Joe Kennedy, après avoir fait réaliser une lobotomie sur une des ses filles – selon la rumeur, la victime de ses attentions dégénérées – a fini par avoir une attaque cérébrale, a eu deux fils qui ont
Élever un enfant, c’est naviguer au compas de son bon sens, c’est s’adapter à ses particularités, c’est faire au mieux au jour le jour, entre autorité et amour, en sachant que de toute façon on va se planter et que, in fine, si vous n’avez pas trop merdé, votre enfant deviendra qui il a choisi
Il y a les mêmes symptômes, facilement identifiables, pour un groupe de sociopathes que pour un sociopathe : perpétuelles victimes, avec un sentiment égotique d’être supérieurs, différents, pas pareils, et donc la certitude d’avoir le droit de faire le mal au nom du « bien ».
Les régulations sont là pour tous nous protéger. Les limites données aux fous sont ce qui nous garantit notre liberté.
la dystopie des techbros
La vision des sociopathes est forcément une dystopie. Parce que les sociopathes, totalement dénués d’empathie pour autrui, de compréhension pour les faiblesses humaines ou d’amour – si on excepte celui, infini, qu’ils ont pour eux-mêmes -, ne vont jamais envisager autre chose qu’une putain de fourmilière : un univers privé de toute humanité et fatalement
Le message de Jésus de Nazareth est très clair : c’est un message d’amour, c’est un message de tolérance, c’est un message de respect, c’est un message de solidarité. Et les fascistes qui prétendent l’exploiter peuvent bien tous aller karmiquement se faire foutre.
La pire ruse du mal est de se faire passer pour un défenseur de la foi. On le voit quand l’amour devient l’intolérance, le rituel devient le dogme, la compassion devient la punition, la solidarité devient la cruauté, l’honneur devient le vice, la beauté devient la laideur.
En choisissant la croix comme symbole de Jésus, en allant la mettre jusque dans le nom de leur religion, les chrétiens du IVème siècle – encore Constantin Ier et son fichu concile de Nicée… – ont choisi comme représentation de leur foi un instrument morbide et gothique de souffrance.Créant une tentation malsaine d’expiation et de

