En choisissant la croix comme symbole de Jésus, en allant la mettre jusque dans le nom de leur religion, les chrétiens du IVème siècle – encore Constantin Ier et son fichu concile de Nicée… – ont choisi comme représentation de leur foi un instrument morbide et gothique de souffrance.Créant une tentation malsaine d’expiation et de
CatégorieNon classé
Les évangélistes « de la prospérité » États-uniens ne suivent pas la parole de Jésus. Ils adorent Mammon.
Tous ces fanatiques religieux parmi les juifs ou les évangélistes, en train de préparer un sacrifice de vaches rousses ou d’espérer un bain de sang, pour provoquer l’arrivée d’un nouveau prophète, pour ceux qui n’ont pas apprécié le dernier ou bien le retour du même, pour les autres, mais qui serait à présent apocalyptique…
Ont-ils pensé que ce prochain prophète pourrait être un(e) Palestinien(ne) ?
Car, personnellement, c’est en Palestine, à Gaza ou en Cisjordanie, que j’irais le chercher, ce futur prophète : envoyé là, non pas pour préparer la fin du monde mais pour sauver l’âme des persécutés et des innocents, pour apporter l’espoir aux plus démunis d’entre nous et pour montrer à nouveau la voie de l’amour et de la lumière sur Terre.
« Pardonne-leur, Père, ils ne savent pas ce qu’ils font » a dit Jésus, prophète juif venu pour nous tous, en parlant de ceux qui le condamnaient à mort.
Car ses bourreaux, victimes de leur égo, vivaient dans une réalité alternative. Et ne mesuraient pas les conséquences de leur acte.
Le pardon est donc toujours possible.
Mais il n’exclut pas la Justice.