Mon premier est un poisson délicieux avec une sauce aux câpres.
Mon deuxième se dit d’une pierre qui fait la peau douce.
Et mon tout est une plante velue, chevelue, qui se déguste en ce moment sans limitation au ciné.
Je viens en effet d’aller voir Raiponce avec ma fille.
Et je vous le dis tout net : ce film, basé sur un conte des frères Grimm, est le plus incroyable Disney que j’aie jamais vu.
Au moins.
Et je suis connaisseuse ! Les Disney, c’est comme les « James Bond » ou les « Angélique, marquise des Anges », je les connais par cœur (il faudra d’ailleurs qu’on se reparle un jour de Daniel Craig, je suis pas hyper fan des petits anglais qui se baladent perpétuellement avec une moue dégoûtée du thé).
Bon, le fait que ce soit la première fois que je suis allée voir un film en 3D (je sais, je sais…) a peut-être influencé mon impression. Cela faisait bien dix ans et ma dernière visite au Futuroscope que je n’avais pas vu des papillons venir me chatouiller la narine.
Mais au delà des scènes qui ont l’air d’avoir été spécialement conçues pour vous enchanter en relief (la scène des lanternes qui volent dans le ciel est absolument magique), ce film est un concentré d’humour et de poésie en images (mention spéciale au cheval de police qui se comporte comme un chien de chasse).
En un mot comme en cent,
Raiponce, c’est excellent, mangez-en.