Tout se passe comme si l’âme, indéfectible création de Dieu, tendait vers le bien.
Et que l’égo, créé par le méchant à cornes, n’arrivait à entraîner l’humain sur la mauvaise pente qu’en le convainquant qu’il n’est pas responsable, qu’il est la victime de l’équation. Que c’est l’autre personne qui l’a forcé à haïr, à maltraiter ou à tuer.