On a tous un égo, c’est le propre de l’homme.
Mais en grandissant, on est sensé apprendre l’horrible nouvelle – gasp – que le monde ne tourne pas autour de notre nombril. Et on tient notre égo en laisse.
Une bonne partie de la population, les personnes négatives, n’apprennent pas cela. Et leur égo grandit, grandit encore, grandit toujours, avalanche qui veut toujours plus de neige.
Jusqu’au jour fatal où il déborde toute retenue conseillée par l’intelligence. Et là, c’est la fête à Neu-Neu…