Je rentre de «vacances», j’ai la crève et je lis du Jean-François Deniau.
N’y voir aucun lien systématique de cause à effet.
Mais j’adore l’écrivain et je suis définitivement amoureuse de l’homme. Je vous ai déjà dit que j’aimais les aventuriers ?
Bon, il s’est un peu égaré dans une carrière politique (sans aucun parti pris sur ses opinions, je suis juste une désillusionnée de la matière dans son ensemble) mais il est marin et ça rachète tout.
Et dans son livre « L’Atlantique est mon désert », dans lequel il narre sa traversée de l’Atlantique après un triple pontage, il écrit :
« Les colonies françaises à l’étranger sont souvent organisées en syndicats revendicateurs qui ont inventé pour se désigner le terme ahurissant d’ «expatriés», comme s’il s’agissait d’une peine infamante pire que le bannissement. Mais on rencontre aussi aux quatre coins du monde des Français là où on ne les attend pas, qui aiment le pays où ils vivent et en sont aimés.»
Mon petit doigt me dit que la réflexion de Monsieur Deniau se concentre essentiellement dans le « Mais »…