Et plus particulièrement ma maison, qui s’y trouve.
Et le hic, c’est que moi, je n’aime pas les araignées.
Ceci dit, grâce à mon séjour Argentin, et à ma confrontation régulière aux cafards de cinq centimètres de long, j’ai un peu relativisé sur l’arachnophobie : à moins de me retrouver nez à pattes avec un exemplaire suffisamment grand pour qu’on puisse lui voir les poils à l’œil nu, je ne crie plus.
Les pilotes d’avion argentins m’auront rendu le même service. Et je ne parle pas ici de leurs poils, vous m’aurez compris, mais de leur façon sportive de manier un zinc.
Je dois décidément beaucoup à ce pays.
Un joli coucher de soleil c’est tout de même plus agréable à voir qu’une araignée en gros plan. Non ?