Vacances de la Toussaint : le bilan

– 2 enfants 24h / 24h à domicile.
– en plus des deux chats et des 10 plantes vertes habituels.
– 1 constat : les plantes vertes, c’est définitivement plus calme.

– 1 gâteau d’Halloween moche, en dépit des excellents conseils du livre "Kids’ birthday cake". Devant mon œuvre en "basic butter cake", ma fille a d’abord dit "ça ressemble à rien !" avant de concéder "on dirait une grenouille".
Quand on sait que je voulais réaliser un château hanté, on comprend que j’ai encore deux ou trois séances d’entraînement avant de passer pro… Ou alors, c’est la faute du four.

gâteau d'halloween

– 7 sites de matériel de pâtisserie consultés en urgence et en panique pour le matériel nécessaire afin d’éviter à l’avenir ce genre de débâcle culinaire. Si ce n’est pas la faute du four, c’est la faute du moule. Ou du couteau. Ou du beurre. Une bretonne, même à demi, ne devrait jamais cuisiner avec du beurre non-salé, c’est connu.
Cerf Dellier.com, Cuisto Shop, Mora, Soyons food, Cuisine Addict, Original Store, Sibo Sibon.
– plus 1 site préféré mais non encore testé : Feerie cake. Je suis déjà sur la voie du succès.

Ne m’appelez plus « Bilaba ».

On sent tout de suite avec cette photo que je progresse et que mon espace travail (en langage initié « l’Atelier ») a pris une autre allure : j’ai rentré les prototypes de la grange.
Il y en a aussi dans la cave mais une petite voix en moi me chuchote qu’ils ont sûrement l’intention d’y rester…

Protos

La présentation de mon style (à prononcer « staï-le ») et d’une sélection de modèles de vêtements réalisés avant mon départ pour l’Argentine s’annonce donc.
Et dans la foulée, j’ai bien l’intention de vous en mettre les patrons gratuitement en ligne.

La réalité du procédé dépendra un peu, je le crains, de la bienveillance de ma fille de six ans pour l’état de mes nerfs.
Déjà, son respect pour ma vocation fait plaisir à entendre : elle me déclarait encore il y a peu que si je voulais avoir enfin un « vrai métier » et avoir du même coup les moyens de lui offrir la nounou qu’elle appelle de ses voeux, je pourrais toujours travailler à la cantine de son école.
Un message d’espoir, au passage, pour les mères qui travaillent hors de chez elles et qui regrettent de ne pas avoir assez de temps pour s’occuper de leur progéniture…

Message à madame Filliozat

Avant d’avoir nos enfants, avec le Jules, on s’était dit que chez nous, les petits seraient élevés au sifflet et le doigt sur la couture du pantalon.
Un peu comme dans « La mélodie du bonheur », où la troupe d’enfants est soumise à la bienveillante mais néanmoins ferme autorité du commandant Von Truc.

Et puis, enceinte, chargée ras la gueule d’hormones et de bonnes intentions (la nature est bien faite dans le sens de la reproduction), j’ai lu un des livres de madame Filliozat : « Au cœur des émotions de l’enfant ».

L'amour, la mer, les enfants

J’aime beaucoup la mer. Et l’avantage…

F comme… Flam

J’avais tout récemment une discussion avec un ami, comme quoi on était toujours en train de courir après le temps.
Et c’est vrai que dans ce terrible monde moderne, béni en tout ce qui concerne les avancées médicales (merci ô providentielle péridurale !) mais maudit pour tout ce qui est respect du rythme naturel, on est tous pas mal en situation de stress.

En ce qui me concerne, j’ai pourtant presque élevé la flemme au niveau d’un art : mon « mariquej’aime » m’appelle affectueusement « l’Inutile » et si on me pose dans un coin avec un livre, on peut rapidement me confondre avec une plante verte. Sauf quand vient l’heure des repas : je suis beaucoup moins économique et beaucoup plus vorace.
Et, pourtant, oui, même moi, j’ai du mal à éviter le stress omniprésent.

Poubelle de Davron

Acheter du fil sur internet

C’est bien mon genre, tiens, de me réjouir avant-hier d’être à peu près heureuse pour me retrouver ce matin la tête dans le gaz, avec le sentiment de me mouvoir dans la purée de pois…

Sans doute un effet secondaire du climat, qui oscille ici entre l’écossais et l’irlandais (pluie et brouillard) : j’adore mon village et ce coin des Yvelines qui me rappelle la Toscane mais on pourrait le téléporter sous le soleil italien que je ne dirais pas non.
Bref, c’est parti pour une transfusion au café, le nettoyage de mon plan de travail, une zolie photo minimaliste et le post du jour…

Bobines

Réponse en image à toutes mes copines qui pensent que je m’ennuie à la campagne…

Réflexions canines.

Vous vous souvenez du dessin animé « les 101 dalmatiens » ?
Le passage où les propriétaires de chiens ressemblent à leur compagnon à quatre pattes ?

Et bien en ce qui me concerne, je crois que si je devais être un chien, je serais un labrador, dans sa version trop sympa, et trop soucieux d’être agréable.
Très souvent je me dis que j’aimerais mieux ressembler à un braque de Weimar, fin, racé, élégant, sûr de soi, distant et un brin arrogant mais rien à faire, mettez moi dans un groupe de congénères et me voilà qui allume la pupille et frétille du museau (je n’ai pas dit « du croupion », restons corrects).

Upie

Upie (prononcer Youpiiiiiii !), le labrador de ma sœur.

Gentil coquelicot.

J’ai – enfin ? – commencé à publier mes photos en ligne sur flickr, et si je ne me suis pas trompée dans la démarche, elle sont en licence « Creative Commons », téléchargeables et utilisables sauf pour des motifs commerciaux et sans modifications, avec la mention de l’auteur (c’est à dire môôôa). Donc bon, si vous

Les patrons, les femmes et le succès.

Me voilà donc à potasser «Créer et lancer sa marque de mode»….
Je survole l’introduction décrivant l’industrie de la mode, tout de même, je connais déjà un peu le milieu, et je me concentre sur la détermination de mes objectifs professionnels.
Pour ce faire, et dans un souci de réalisme et de positionnement, j’étudie donc la concurrence.

Et alors là, attention, on sent que je suis passée à un niveau supérieur, puisque je ne me contente pas d’acheter un livre, non môsieur, non madame, cette fois j’ai commandé des patrons. Un patron étant en l’occurrence le papier permettant de couper les tissus en suivant les lignes, et non le riche chef d’entreprise : si on pouvait commander Richard Gere version « Pretty Woman » sur internet, je vous en voudrais de ne pas me donner l’adresse.

En tout cas, psychologiquement, on sent que je passe à la vitesse supérieure (surtout quand j’aurai pris le temps d’ouvrir les pochettes des patrons en question) : monde de la mode, me voilà !

Patrons