À quand la fin de ce monde de banquiers ? Part 1.

En ce jour de fin du monde programmée, cher aux adventistes de tout poils, aux scénaristes et aux gourous qui en font leur beurre (les coffres forts suisses étant certainement prévus pour survivre aux chatouilles d’une astéroïde), je comptais vous présenter mon dernier déguisement Maya pour enfant (ou Aztèque, c’est Incasiment la même chose).
Un post de circonstance, donc.

Mais je viens d’être déboutée par Monabanq pour mon ouverture de compte, sur le double motif – oh combien logique – que je ne peux pas présenter de fiches de paie (ben, non, je viens de me déclarer comme indépendant mais j’ai des chèques à déposer) et surtout, que je ne peux pas me faire de chèque de moi à moi. C’est à dire, de moi, d’un autre compte bancaire à moi à Monabanq. Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer mais chez Monabanq, pour avoir le droit d’ouvrir un compte bancaire, il faut donc déjà en avoir un.

Banquiers

Allégorie à petit budget de la loi des banquiers. Admirez !

Enfin la fin du monde ?

Ce post est définitivement à lire avec la BO de Skyfall en fond sonore : le ciel va t-il enfin nous tomber sur la tête cette année ?

Vous devez sûrement savoir que certaines personnes pensent en effet que les Mayas auraient prévu la fin du monde pour le 21 décembre prochain.
Une météorite présumée et des Mayas, c’est quand même plus sexy et ça fait plus sérieux que Paco Rabanne et un vieux satellite russe déglingué.
On sent qu’on est passé à la vitesse supérieure….

Sculpture bretonne

À défaut de frise Inca, une petite sculpture Bretonne.

Ne jamais demander à GLS de vous livrer un colis pour Noël.

Pour commander l’établi de Noël du petit dernier nous avons donc fait appel à ce transporteur nommé GLS.
Et quand, au bout de dix jours, le traîneau n’apparaissait toujours pas au bout du chemin, je suis allée voir du côté du traçage en ligne.
Et – ho ! ho ! ho !-, surprise, ledit transporteur n’a pas honte de noter une suite d’excuses toutes plus surréalistes les unes que les autres pour justifier son retard.
Je vous laisse juge : à part l’enlèvement par les extra-terrestres, rien n’a été épargné et notre colis tourne donc depuis dix jours autour de Trappes, à vingt kilomètres de chez nous.

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Nouvelle catégorie trucs et astuces

J’ai assez peu écrit ces derniers temps mais il faut dire qu’en plus de mon job de traductrice (et ouiiiiiiiiii, il m’arrive de bosser !), en cette fin d’année bénie de fêtes scolaires et de cirque, je dois faire un déguisement de princesse Égyptienne et onze déguisements de nobles Incas de tous sexes. Modus operandi bientôt en ligne…
Heureusement, en ce qui concerne les Incas, quelques autres mamans se sont proposées pour m’aider : chez moi, on va bientôt faire de l’atelier couture.
Au passage, je donne dans la découverte ethnique et culturelle : les Incas et les Égyptiens, si vous voulez mon avis, ils s’habillaient presque pareil (en plus doré pour les pharaons). Est-ce que quelqu’un s’est déjà penché sur le sujet ou est-ce que je viens de faire une percée dans la connaissance historique ?
En même temps, quand il fait chaud et qu’on n’a pas encore inventé la machine à coudre, je suis d’accord que le pagne s’impose.

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Héroines en pays Moutard

Dimanche dernier, ma fille m’a demandé de démêler un enchevêtrement de fils faits par son pendentif en cristal avec le grappin Playmobil (c) de son frère.
Et j’ai alors tourné sur moi même, chanté un petit air familier aux amateurs de Comics et entonné :
« nanananananananana, bat-mum ! ».
Oui, je sais, c’est plutôt Wonderwoman qui tournait sur elle même mais après deux grossesses, je pense que le noir intégral avec faux pectoraux moulés m’irait mieux que le micro short et je mixe les genres dans le pur intérêt de l’esthétisme. Je vous promets, vous voulez pas voir ça, même en imagination.

Me déclarer en tant qu’auto-entrepreneur.

Pour commencer avec une anecdote qui n’a rien à voir avec le sujet du jour, j’aimerais témoigner sur le poncif « les hommes seront toujours des hommes ».
Ce matin, alors que le Jules était à la noble tâche de changer la couche de notre hériter mâle, il remarque que la partie la plus virile de son anatomie était, comme qui dirait, dans son état le plus rigide.
Il dit alors quelque chose comme « oh, tu as vu ton pilin ? », « pilin » étant le mot donné jadis à ce bel organe par la nounou argentino-paraguayenne et qui nous est resté.
Et notre fils de répondre :
« NON, pas pilin. BÂTON ! »
Ça promet…

Mais cela n’a rien à voir avec le sujet du jour, qui est que je viens officiellement de recevoir mon numéro de SIREN en tant qu’auto-entrepreneur.

Paperasse

Petit meurtre à écrire entre amies.

Une fois par mois, je participe à un atelier d’écriture.
Merveilleux moment que ces heures volées au quotidien, rituel "sooooooooooo british" mâtiné d’humour caustique et de littérature raffinée autour d’un bon thé.
Savoureux mélange de madeleines et de bons mots faits maison !
Et cette fois, comme devoir à faire chez soi, notre bienveillante mais néanmoins ferme maîtresse de cérémonie nous a tout simplement demandé d’écrire un ouvrage d’ici fin mai.
Mais c’est bien sûr !

Petit meurtre entre amies

Et hop, encore une installation minimaliste. Ma spécialité !

Depuis que j’ai des enfants, je ne vois plus la vie de famille de la même façon (suite).

Avant, quand je rencontrais une maman qui avait décidé de rester au foyer pour s’occuper des bébés, je pensais un truc du style : « et allez, encore une qui a choisi de se la couler douce près du frigo à bières et qui trahit du même coup la cause SACRÉE de l’égalité des sexes ».

2ème petit machin

Maintenant, la fois où le Jules m’a sorti un truc du même tonneau après la naissance de l’aînée, j’ai opportunément disparu tout un samedi.
Pfffuuuuuuuuuuuuuuuiiiit !
Bizarrement, il ne l’a plus jamais redit …

Depuis que j’ai des enfants, je ne vois plus la vie de famille de la même façon.

En avertissement, je tiens à prévenir ceux d’entre vous qui hésiteraient à se reproduire : ce post n’est pas vraiment une incitation à sauter le pas….
Mais de toute façon, j’ai pleine et entière confiance en la force des hormones pour vous donner la petite poussette finale : en ce qui me concerne, après trois ans à hésiter et à faire des listes « contre » (trois pages) et « pour » (deux lignes), c’est bien la vue d’un bébé joufflu qui a finalement annihilé chez moi toute forme de raisonnement cérébral et m’a fait passer à l’acte !
Même encore maintenant, pourtant bien aguerrie après deux marmots, dès que je vois un nouveau-né, je fonds complètement en dedans et gazouille des « c’est trop mignon ces petites mains et ces petits pieds », en oubliant, sur le coup, de lever les yeux sur la jeune maman hagarde et échevelée qui chancèle au dessus du landau (dormir par tranches de deux heures vient à bout des plus endurcies…).

Petit machin

Facebook et moi

Quand j’ai annoncé à la maison que je voulais lancer un blog, le Jules a tout de suite dit que "en gros c’était pas tout ça mais qu’il faudrait que je communique sur le sujet".
Et donc que j’ouvre un compte Facebook (et Twitter et Flickr et Potdebeurre, cherchez l’intrus…).
Lui qui y est à priori absolument opposé et voit le truc comme une atteinte à sa vie privée et une justification de sa paranoïa aigüe à tendance "théorie du complot", se vautre maintenant comme tout le monde avec bonheur dans le potin internet : juste, il se connecte avec mon identifiant à moi.

Cerf-volant