Elle s’appelle Glenda Moon, elle est strip-teaseuse (fiction).

(Et c’est parti pour la précaution usuelle, je ne voudrais pas que les mamans du village m’imaginent avoir une deuxième vie la nuit : toute ressemblance avec une personne réelle, ne serait que le pur fruit d’un malencontreux hasard, d’une coïncidence fortuite, d’un abus de tequila etc…)

S’appeler Moon, quand on vit de montrer sa lune, vous avouerez que c’est avoir un solide sens du marketing.

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Prologue à une brève nouvelle

Je participe un samedi par mois à un atelier d’écriture et j’ai pour mission de pondre un truc qui tienne la route avant ce qu’on appelle ici l’été (il pleut toujours mais les températures repassent au dessus de 0°).

Et je n’ai pas peur de la feuille blanche.
Dans la mesure où je me parle toujours à moi même et que je ne manque pas d’imagination, je n’ai qu’à retranscrire ce que je pense sur papier, c’est sans problème. À la limite, je craindrais plutôt d’être un peu déjantée mais je me rassure en me disant que tant que « mes voix » ne m’intiment pas d’aller torturer un chat, il n’y pas de raison de paniquer.
Au passage, je tiens à rassurer les voisins : si jamais un tel évènement, tout de même fort improbable, venait à se concrétiser, question félins, j’ai ce qu’il faut chez moi.

Livres sur l'écriture

Recyclage de photo, ce n’est pas pour rien que je suis une blogueuse écolo.

Laisser partir son enfant en voyage scolaire

Je viens de donner mon accord de principe pour autoriser ma fille de six ans à partir pour trois jours à Londres.

Et autant, à chaque vacances scolaires, je me pourlèche les babines sur les sites internet de colonies de vacances en rêvant d’y envoyer mon petit amour à coups de pompe dans son joli derche, autant à l’idée de la laisser concrètement s’éloigner de ma tendre et compréhensive affection pour un voyage du côté des buveurs de thé me met le nerf en pelote.
En fait, pour tout dire, I’m stressing quite a little bit right now.

Et pour se détendre l’imagination, rien de tel sur le coup de minuit quand l’insomnie pointe le bout de son vilain nez et que les scénarios catastrophes outre-Channel se déchaînent, rien de tel, donc, que de diriger sa créativité vers quelque chose de plus constructif.
Et me voilà donc à imaginer des fictions sur toile de fond de voyage scolaire et d’Eurostar. On sent tout de suite que la passion et le suspense seront au rendez-vous…

Ma famille

Nous sommes une famille comme les autres !

Et message personnel au propriétaire d’un Husky à Davron.

Au passage, je tiens à féliciter cette personne pour le choix de son compagnon canin : quand j’étais petite et que j’étais tombée en arrêt devant la beauté de cette race, ma mère m’avait dit qu’il faisait trop chaud sous nos climats tempérés pour le bien-être de ce chien.
Mais pour Davron, microclimat humide à tendance glaciaire, un chien de traîneau, c’est parfait ! Et même il faudrait envisager tout de suite à voir plus drastique : en ce qui me concerne, je songe au pingouin, animal habitué à vivre dans l’eau froide.

Église de Davron sous la neige

Davron vaut bien une messe

Ma fille de six ans étant à l’âge des angoisses existentielles, je me suis dit que ce serait sans doute une bonne idée de l’emmener assister à une messe, pour qu’elle constate de visu que sa mère n’était pas la seule tarée à croire que la mort n’était pas forcément une affaire aussi définitive que ce qu’on pouvait bien croire.
Un concept, il faut l’avouer, qui lui paraît à priori plus abscons et improbable que l’existence du lapin de Pâques.

Église de Davron

À quand la fin de ce monde de banquiers ? Part 2.

(suite de la Part 1)

Et donc, avant mon départ pour l’aventure Argentine, j’ai décidé de simplifier ma vie paperassière et de fermer mes comptes, notamment mon compte privé.
Pour ce faire, j’ai arrêté de faire des chèque trois mois à l’avance et j’ai prévenu ceux qui en étaient encore pourvus de ma date de départ. Mais je n’ai pas pointé chaque chèque sur mon livre de comptes. Bizarrement, avec un déménagement intercontinental à organiser, j’avais deux ou trois autres choses sur le feu.
Fatale erreur !
Un chèque étant fatidiquement arrivé après la date de fermeture de mon compte, ma sympathique banque d’alors (Société Générale, pour bien la dénoncer) m’a envoyé une lettre jusqu’à Buenos-Aires, via le travail de mon mari, pour me menacer fort cordialement d’interdit bancaire.

Relation banquier-client

Grosse déception : le playmobil ne peut pas se mettre à genoux ! NI tenir plié en deux sans léger support. Photo réalisée donc sans presque aucun trucage !

Esprit de Noël à la française

Il ne sera pas dit que je serai née en France et que je n’aurai pas chopé deux ou trois défauts de ce pays, fût-ce par osmose.
Certes, je n’en suis pas encore à envoyer les touristes dans la mauvaise direction (souvenez vous du "le parisien, il vaut mieux l’avoir en journal"), si l’on excepte la toute petite fois où, toute fière de me souvenir d’un peu de japonais, j’ai envoyé des ressortissants du pays du soleil levant vers une destination inconnue.
Cela arrive très certainement à tout le monde de confondre la droite et la gauche dans une langue étrangère, ce n’était pas vraiment ma faute…

Joyeux Noël !

Les lecteurs fidèles reconnaîtront le petit acteur !