Quand j’étais petite, voire un peu plus grande, je pensais que l’homme de ma vie, ce serait un aventurier.
Tant qu’à choisir, je l’imaginais plutôt corsaire, de préférence maltais, fleurant bon l’embruns et la fleur d’oranger.
Je sais que les corsaires se font un peu rare de nos jours, mais j’aurais été prête à me "contenter" d’un Titouan Lamazou, dont j’étais allée voir l’exposition "Femmes du Monde" ou d’un Stéphane Peyron époque Canal +.
De fait, comme toute bonne descendante de bretons qui se respecte, j’ai l’eau de mer et le chouchen qui coulent à part égale dans les veines.
Pour être honnête, surtout l’eau de mer, n’ayant jamais été à la hauteur des attentes de ma mère, question lever de verre.
Et je n’aime pas le whisky ! Un crime de lèse-majesté !