À quand la fin de ce monde de banquiers ? Part 2.

(suite de la Part 1)

Et donc, avant mon départ pour l’aventure Argentine, j’ai décidé de simplifier ma vie paperassière et de fermer mes comptes, notamment mon compte privé.
Pour ce faire, j’ai arrêté de faire des chèque trois mois à l’avance et j’ai prévenu ceux qui en étaient encore pourvus de ma date de départ. Mais je n’ai pas pointé chaque chèque sur mon livre de comptes. Bizarrement, avec un déménagement intercontinental à organiser, j’avais deux ou trois autres choses sur le feu.
Fatale erreur !
Un chèque étant fatidiquement arrivé après la date de fermeture de mon compte, ma sympathique banque d’alors (Société Générale, pour bien la dénoncer) m’a envoyé une lettre jusqu’à Buenos-Aires, via le travail de mon mari, pour me menacer fort cordialement d’interdit bancaire.

Relation banquier-client

Grosse déception : le playmobil ne peut pas se mettre à genoux ! NI tenir plié en deux sans léger support. Photo réalisée donc sans presque aucun trucage !

Esprit de Noël à la française

Il ne sera pas dit que je serai née en France et que je n’aurai pas chopé deux ou trois défauts de ce pays, fût-ce par osmose.
Certes, je n’en suis pas encore à envoyer les touristes dans la mauvaise direction (souvenez vous du "le parisien, il vaut mieux l’avoir en journal"), si l’on excepte la toute petite fois où, toute fière de me souvenir d’un peu de japonais, j’ai envoyé des ressortissants du pays du soleil levant vers une destination inconnue.
Cela arrive très certainement à tout le monde de confondre la droite et la gauche dans une langue étrangère, ce n’était pas vraiment ma faute…

Joyeux Noël !

Les lecteurs fidèles reconnaîtront le petit acteur !

À quand la fin de ce monde de banquiers ? Part 1.

En ce jour de fin du monde programmée, cher aux adventistes de tout poils, aux scénaristes et aux gourous qui en font leur beurre (les coffres forts suisses étant certainement prévus pour survivre aux chatouilles d’une astéroïde), je comptais vous présenter mon dernier déguisement Maya pour enfant (ou Aztèque, c’est Incasiment la même chose).
Un post de circonstance, donc.

Mais je viens d’être déboutée par Monabanq pour mon ouverture de compte, sur le double motif – oh combien logique – que je ne peux pas présenter de fiches de paie (ben, non, je viens de me déclarer comme indépendant mais j’ai des chèques à déposer) et surtout, que je ne peux pas me faire de chèque de moi à moi. C’est à dire, de moi, d’un autre compte bancaire à moi à Monabanq. Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer mais chez Monabanq, pour avoir le droit d’ouvrir un compte bancaire, il faut donc déjà en avoir un.

Banquiers

Allégorie à petit budget de la loi des banquiers. Admirez !

Enfin la fin du monde ?

Ce post est définitivement à lire avec la BO de Skyfall en fond sonore : le ciel va t-il enfin nous tomber sur la tête cette année ?

Vous devez sûrement savoir que certaines personnes pensent en effet que les Mayas auraient prévu la fin du monde pour le 21 décembre prochain.
Une météorite présumée et des Mayas, c’est quand même plus sexy et ça fait plus sérieux que Paco Rabanne et un vieux satellite russe déglingué.
On sent qu’on est passé à la vitesse supérieure….

Sculpture bretonne

À défaut de frise Inca, une petite sculpture Bretonne.

Facebook et moi

Quand j’ai annoncé à la maison que je voulais lancer un blog, le Jules a tout de suite dit que "en gros c’était pas tout ça mais qu’il faudrait que je communique sur le sujet".
Et donc que j’ouvre un compte Facebook (et Twitter et Flickr et Potdebeurre, cherchez l’intrus…).
Lui qui y est à priori absolument opposé et voit le truc comme une atteinte à sa vie privée et une justification de sa paranoïa aigüe à tendance "théorie du complot", se vautre maintenant comme tout le monde avec bonheur dans le potin internet : juste, il se connecte avec mon identifiant à moi.

Cerf-volant

Réflexions canines.

Vous vous souvenez du dessin animé « les 101 dalmatiens » ?
Le passage où les propriétaires de chiens ressemblent à leur compagnon à quatre pattes ?

Et bien en ce qui me concerne, je crois que si je devais être un chien, je serais un labrador, dans sa version trop sympa, et trop soucieux d’être agréable.
Très souvent je me dis que j’aimerais mieux ressembler à un braque de Weimar, fin, racé, élégant, sûr de soi, distant et un brin arrogant mais rien à faire, mettez moi dans un groupe de congénères et me voilà qui allume la pupille et frétille du museau (je n’ai pas dit « du croupion », restons corrects).

Upie

Upie (prononcer Youpiiiiiii !), le labrador de ma sœur.

Doute à Davron, enfin la révélation.

Parce que oui, la révélation de mon doute, c’est que j’ai traversé ces derniers temps comme une grosse période de "àquoibon" sur l’intérêt d’écrire un blog.
Pas dans l’absolu, mais en ce qui concerne ma pomme.

Coup de lune

Je ne suis pas une journaliste pouvant faire bénéficier le commun – dont je fais partie – de ma vie chargée en glamour, caféine et nicotine.
Je ne suis pas non plus assez "fashion addict" pour m’intéresser tous les jours au décodage des tendances (mes heures d’élégance consistant à mettre mon pantalon kaki à poches les jours où j’ai envie de varier du jean stretch).
Et je ne couds pas suffisamment en ce moment, pour vous attirer régulièrement l’œil sur ma toute dernière création, photographiée sur un angle que ne renierait pas Marie Claire Maison. Voir les blogs listés sur votre droite.

Certes, des amis m’ont parfois félicitée pour ma plume (certains m’ont, ce faisant, presque tiré les larmes, ils se reconnaîtront peut-être) et je viens de recevoir un mail qui m’a fait très plaisir, mais le Jules me reproche ces derniers temps de ne pas être aussi drôle qu’avant.
C’est sûr qu’on trouve plus matière à se marrer en grimpant le Fitz Roy qu’en taillant les rosiers.

Doute à Davron, toujours pas d’explication.

Pour tout vous dire, j’y tiens à ma neutralité politique.
J’ai été élevée entre une mère de droite, photo de Chirac dédicacée sur buffet et un père de gauche, fils d’enseignants, votant Mitterrand. Au moins la première fois.

J’ai grandi en fille de bourgeois (le papa ayant quelque peu trahi ses origines en choisissant la filière médicale) dans une des rares villes communistes de France, c’est à dire le Mans.

Et j’ai donc été confrontée fort jeune aux ridicules des deux camps.

Au Mans

Photo prise lors de mon dernier passage au Mans.

Philosophie de ménagère à propos de mégaupload 2

Je suis très en retard sur mes publications.
En fait, ce qui me prend du temps, sur ce blog, ce n’est pas tant d’écrire (un truc que je dois avoir dans le sang) mais de me relire, de peaufiner, de « ciseler », de trouver une idée de photo, de prendre la photo,…
Et donc, en dépit du Jules qui râle que je n’écris pas assez de trucs drôles en ce moment, je vais quand même mettre en ligne ici, la suite de l’article déjà publié là.

Parce que ce qui me frappe un peu au sujet de l’affaire Megaupload, c’est qu’un pays fait arrêter un gus dans un autre pays, mettant la main au passage sur des tonnes de données parfaitement légales pour la plupart, appartenant aux ressortissants de tas d’autres contrées.
Au delà de toutes les justifications légales et économiques, il y a là un précédent d’intervention d’un pays sur le web qui me donne deux ou trois frissons.

D’autant que ça fait déjà un certain temps que la « american way of thinking » me donne un peu du fil à retordre sur le plan de la morale.
Cette « wonderful american way of thinking », qui fait dire à tout américain, souvent à travers ses films, qu’il est le « good guy ». Le bon gars. Le gentil cow-boy, n’en déplaise aux indiens.
Et que quand on est le bon, on a le droit de faire à peu près ce qu’on veut pour éradiquer le méchant.

Aigle

L’aigle du copyright américain n’a pas l’air de plaisanter…