Vol au dessus d’un nid de facteurs. Correo Argentino Part. 2

(La suite de mes aventures en Poste Argentine. Voir Part 1)

Si vous avez raté la chance de recevoir votre colis à domicile en Argentine, pas d’inquiétude, il vous reste encore la possibilité d’aller le chercher au Correo Argentino.
Aaaaaah le Correo Argentino !
Aaaaaah !!

Guia T

Déjà, il faut réussir à trouver les rues de l’endroit sur le plan : perso j’ai mis trois jours. Et encore, je n’en n’ai trouvé qu’une. Z’ont choisi pour s’installer les plus petites rues du plan, celles qui se trouvent de surcroît sur la ligne de séparation de quartiers du plan.
Oui, parce qu’ici, à Buenos Aires, dans le fameux "Guia T", (en vente dans tous les bons Kioskos), il faut savoir que les plans ne se chevauchent pas.
Trop facile.
Ils sont coupés bien proprement, un peu à l’image d’un puzzle qui n’aurait que des carrés.

Vol au dessus d’un nid de facteurs. Correo Argentino Part 1.

Je vais poster dans les jours qui viennent les articles que la revue de Buenos-Aires Accueil, devenue le « Buena Onda », a publiés dans ses pages depuis plus d’un an (avec un minimum d’altérations).

Buena Onda

Et je tiens donc à m’excuser auprès de mes lecteurs pour un format à priori inadapté au blog.
Et à remercier au passage toute l’équipe de Buena Onda – et notamment Marie et Isabelle -, dont les répétés mais néanmoins très diplomatiques coups de pieds au cul m’auront permis de commencer à vraiment écrire sur mon expérience en Argentine.

Savoir vivre & manger

Hier je suis allée faire les dernières courses de Noël.
Et j’en ai profité pour m’accorder un de mes nombreux péchés mignons : un cornet de glace chez Volta.

Vitrines Volta

Antre du péché glacé.

Ne craignez rien, je ne compte pas profiter de l’occasion pour vous donner une leçon de savoir-vivre à la « Nadine de Rothschild ».
Et j’aimerais d’ailleurs noter au passage que je trouve plutôt mignon que quelqu’un qui a commencé sa carrière d’actrice en ébauchant un strip-tease (voir le film « En effeuillant la marguerite » où Nadine ne s’appelait pas encore de R. mais seulement Tallier) s’est fait connaître par la suite en expliquant comment se comporter en public.
La vie est décidément pleine de surprises…

Iguazu ou la relativité

Je n’aime pas l’avion. Ça m’est venu d’un coup, avec l’âge adulte.
Avant, ma nature profondément feignante s’accommodait avec plaisir du fait de rester assise un nombre incalculable d’heures et de se faire servir (en plus, quand tu es petit, tu reçois plein de cadeaux !).
L’avion me berçait en bondissant de nuage en nuage et ça me donnait l’envie de piquer un petit roupillon entre le film et le plateau repas.
Le bonheur.

Visualisez la vidéo

Ha si j’étais un oiseau ! (réalisé sans trucage au parc des oiseaux, Iguaçu, Brésil)

Et les femmes d’expat, elles sont en vacances ?

En fait, le truc qui frappe à première vue, et sans doute à la seconde, c’est que les conditions des expatriés sont notablement privilégiées.
Nos maris le valent bien, qui s’échinent la colonne vertébrale au turbin. Ils le valent bien et pas seulement quand ils bossent chez l’Oréal. J’en connais.
Mais je conçois très bien que ça puisse agacer, surtout quand, de notre côté, nous n’avons pas l’air de bouger le petit doigt. Que nous avons parfois manucuré.
Alors qu’en est-il vraiment, au delà des apparences ?

Ambassade dans la rue Ortiz de Ocampo

Non, ce n’est pas ma maison, c’est juste une ambassade dans ma rue.

Les expats ne sont pas en vacances

Ma sœur me disait récemment : (j’ai prévenu ma sœur que j’allais la citer dans mon blog sans me censurer et comme elle ne m’a pas signé de décharge et qu’elle est plus grande que moi, c’est pas impossible qu’elle me cogne…) :
« Être expatrié, c’est comme être en vacances sauf que tu travailles la journée ».

(13/12/10 lire les commentaires pour le droit de réponse familial !)

Yacaranda

Le Yacaranda est un arbre à fleurs mauves typique de Buenos Aires.